PAROISSE PROTESTANTE
DE
BRUMATH - KRAUTWILLER
DE
BRUMATH - KRAUTWILLER
Le chant des veilleurs
C’est vrai, le grand matin n’est pas encore venu
C’est encore le chant de la pénombre Le chant des veilleurs qui appellent l’aurore
Mais déjà danse en nous la lumière Déjà le chant de l’aube habite nos silences
Entonnons des chants de veilleurs qui voient plus loin que la nuit
Qui bâtissent la vie sur l’espoir
Qui sont déjà d’ailleurs et de plus loin
Du Royaume de paix sans fin
Au plus profond de nous, la vie rejoint le rêve
Et les désirs enfouis d’amour et de beauté
Si tu plonges dans ces profondeurs
Tu trouveras l’élan de vivre libre
Ton chemin sera jalonné de lueurs d’enfance, de balises d’espérance
Et de la pénombre s’éveillera un été radieux
C’est encore le chant de la pénombre Le chant des veilleurs qui appellent l’aurore
Mais déjà danse en nous la lumière Déjà le chant de l’aube habite nos silences
Entonnons des chants de veilleurs qui voient plus loin que la nuit
Qui bâtissent la vie sur l’espoir
Qui sont déjà d’ailleurs et de plus loin
Du Royaume de paix sans fin
Au plus profond de nous, la vie rejoint le rêve
Et les désirs enfouis d’amour et de beauté
Si tu plonges dans ces profondeurs
Tu trouveras l’élan de vivre libre
Ton chemin sera jalonné de lueurs d’enfance, de balises d’espérance
Et de la pénombre s’éveillera un été radieux
Partir
Partir, c’est avant tout sortir de soi.
Prendre l’univers comme centre, au lieu de son propre moi.
Briser la croûte d’égoïsme qui enferme chacun comme dans une prison.
Partir, c’est cesser de braquer une loupe sur mon petit monde ;
Cesser de tourner autour de soi-même
comme si on était le centre de tout et de la vie.
Partir, ce n’est pas dévorer des kilomètres
Et atteindre des vitesses supersoniques.
C’est avant tout regarder,
s’ouvrir aux autres, aller à leur rencontre.
C’est trouver quelqu’un qui marche avec moi, sur la même route,
Non pas pour me suivre comme mon ombre,
Mais pour voir d’autres choses que moi, et me les faire voir.
Prendre l’univers comme centre, au lieu de son propre moi.
Briser la croûte d’égoïsme qui enferme chacun comme dans une prison.
Partir, c’est cesser de braquer une loupe sur mon petit monde ;
Cesser de tourner autour de soi-même
comme si on était le centre de tout et de la vie.
Partir, ce n’est pas dévorer des kilomètres
Et atteindre des vitesses supersoniques.
C’est avant tout regarder,
s’ouvrir aux autres, aller à leur rencontre.
C’est trouver quelqu’un qui marche avec moi, sur la même route,
Non pas pour me suivre comme mon ombre,
Mais pour voir d’autres choses que moi, et me les faire voir.
Dom Helder Camara (1909-1999)
Esprit de lumière, fais resplendir sur nous ta vérité.
Esprit de silence, fais-nous percevoir la présence de Dieu.
Esprit de courage, bannis la peur de notre coeur.
Esprit de feu, enflamme-nous de l’amour du Christ.
Esprit de paix, mets en nous le calme, fais-nous entendre la Parole de Dieu.
Esprit de joie, donne-nous l’élan qui nous pousse à proclamer la bonne nouvelle.
Esprit d’amour, ouvre-nous aux détresses des autres.
Esprit de puissance, aide-nous, donne-nous ta force.
Esprit de vérité, accompagne-nous sur les traces du Christ.
Amen.
Esprit de silence, fais-nous percevoir la présence de Dieu.
Esprit de courage, bannis la peur de notre coeur.
Esprit de feu, enflamme-nous de l’amour du Christ.
Esprit de paix, mets en nous le calme, fais-nous entendre la Parole de Dieu.
Esprit de joie, donne-nous l’élan qui nous pousse à proclamer la bonne nouvelle.
Esprit d’amour, ouvre-nous aux détresses des autres.
Esprit de puissance, aide-nous, donne-nous ta force.
Esprit de vérité, accompagne-nous sur les traces du Christ.
Amen.
(in Sinfonia Oecumenica p. 799-801)
Seigneur, je veux vraiment être convaincu par ta Parole.
Ouvre mes yeux sur la vérité.
Eclaire ma courte vue.
Donne-moi ta lumière.
A l’écoute de ta voix je veux, à l’image de Pierre, me remettre en question
et chasser de ma vie les erreurs
comme mes préjugés ainsi que mes idées préconçues.
Je veux maintenant me laisser convaincre par ton Esprit Saint.
Seigneur, je ne veux en aucune façon être de ceux
qui s’opposent à ta volonté.
Alors Seigneur si je suis dans l’erreur et s’il le faut,
merci de bousculer mes idées.
Amen !
Ouvre mes yeux sur la vérité.
Eclaire ma courte vue.
Donne-moi ta lumière.
A l’écoute de ta voix je veux, à l’image de Pierre, me remettre en question
et chasser de ma vie les erreurs
comme mes préjugés ainsi que mes idées préconçues.
Je veux maintenant me laisser convaincre par ton Esprit Saint.
Seigneur, je ne veux en aucune façon être de ceux
qui s’opposent à ta volonté.
Alors Seigneur si je suis dans l’erreur et s’il le faut,
merci de bousculer mes idées.
Amen !
Apprends-moi à aimer
Seigneur Jésus,
Donnez-moi votre Amour
Seigneur Jésus,
Apprenez-moi à vous aimer
Chaque jour davantage
Toujours davantage.
Donnez-moi votre Amour
Seigneur Jésus,
Apprenez-moi à vous aimer
Chaque jour davantage
Toujours davantage.
Pierre Ceyrac
(Jésuite, engagé depuis près de 70 ans en Inde auprès des enfants des rues et pauvres, construisant pour eux hôpitaux, écoles et dispensaires, fermes, etc…)
(Jésuite, engagé depuis près de 70 ans en Inde auprès des enfants des rues et pauvres, construisant pour eux hôpitaux, écoles et dispensaires, fermes, etc…)
Accorde-moi Seigneur
de savoir faire silence devant toi.
De cesser de gesticuler,
malgré les tourments,
sans crainte de me noyer.
De sentir sous mes pieds
la terre ferme de ton amour.
Qu’un instant, abandonnant la lutte,
libéré de ce qui m’oppresse,
et confiant en ta seule grâce,
je puisse laisser résonner en moi
la parole que tu m’adresses :
« Écoute... »
de savoir faire silence devant toi.
De cesser de gesticuler,
malgré les tourments,
sans crainte de me noyer.
De sentir sous mes pieds
la terre ferme de ton amour.
Qu’un instant, abandonnant la lutte,
libéré de ce qui m’oppresse,
et confiant en ta seule grâce,
je puisse laisser résonner en moi
la parole que tu m’adresses :
« Écoute... »
Thierry Baldensperger, pasteur à Cosswiller.
Je me recueille dans le silence de ma racine
Un chant splendide monte de l’Arbre intérieur
Baigné de lune et d’aromates
le cantique d’un oiseau libéré
la houle des feuillages qui respirent
La brûlure atteint l’aubier
La vie coule fluide
Danse lumineuse
Tout à l’intérieur de l’homme.
Un chant splendide monte de l’Arbre intérieur
Baigné de lune et d’aromates
le cantique d’un oiseau libéré
la houle des feuillages qui respirent
La brûlure atteint l’aubier
La vie coule fluide
Danse lumineuse
Tout à l’intérieur de l’homme.
extrait de Soleil de prières de Sylvie Reff et André Stern