DE
BRUMATH - KRAUTWILLER
Liess hier die Menschen Musestunden finden.
Die Zeiten ändern, schaut man her und hin,
Doch Gott der Herr hat Grosses hier im Sinn.
Als dann die Lichtenberger alle schon gestorben
Da hat das Konsistorium diesen Bau erworben,
Geschickte Männer schafften und sie bauten aus,
Sie bauten aus dem Schloss ein schönes Gotteshaus.
Schlosskirche heisst sie bis zum heut'gen Tag !!
O dass der Weltenlenker sie lang erhalten mag.
Ein hoher Turm ragt stolz auf dem Gebäude,
Daraus erklingt harmonisch ein Geläute,
Schon Friedrich Schiller sagte einst vor langer Zeit :
Sei ihr metall'ner Mund geweiht.
Der Dichterfürst, er sollt n ...Lire la suite Jean Jacques Coulmann. Une grande figure du protestantisme brumathois
Jean Jacques Coulmann, le dernier enfant de Georges Frédéric Coulmann et de Catherine Salomé Ulrich, est né à Brumath, le 13 nivôse, an IV (3/01/1796) (1) † Paris 17 septembre 1870. Il devint un homme politique et écrivain. Avocat à la Cour d'Appel de Paris. Il entre au Conseil d'Etat en 1830, en qualité de maître des requêtes. En 1831, aux élections générales, il est élu député libéral du Bas-Rhin, battu en 1836. Il fut membre du conseil municipal de Brumath, il ne se représente plus à l'élection municipale du mois de septembre 1852 (2). Il fut membre du Consistoire luthérien de Paris, dernière élection le 19/12/1868.
Il épouse le 4 janvier 1830 à Paris, mademoiselle Julie Mathilde Davillier (v. 1810 † 31/10/1879), fille de Mr. Jean Charles Davillier (v. 1749 † 18/10/1846), rég ...Lire la suite
Adolf Hohberg, pasteur à Brumath de 1907 à 1919Article traduit du journal "Neuer Zornthal-Bote" édition du jeudi 23 mai 1907
Le dimanche de Pentecôte, 19 mai 1907 à l'église du château, à 14 h 30 eu lieu la cérémonie d'installation de Mr le pasteur Adolf Hohberg, nouvellement nommé dans sa fonction. La cérémonie fut ouverte par une œuvre musicale "Niederländisches Dankgebet", exécutée par l'orchestre des sapeurs pompiers. Ensuite, Mr Metzger, Inspecteur Ecclésiastique de l'Inspection St.Guillaume, a tenu un discours dans lequel sont relevés les obligations réciproques du pasteur envers la paroisse, et celle-ci envers le pasteur.
L'orateur, à cet égard, fit l'éloge de la grande popularité dont jouissait le pasteur Georges Eugène Herrmann (1), appelé à Strasbourg, et exprima en même temps le souhait et l'espoir ...Lire la suite
Le chant des clochesVivos voco. Mortuos planco. Fulgura frango.
J’apelle les vivants. Je pleure les morts. Je brise la foudre.
Cette inscription relevée par Goethe sur une cloche de l’église de Tous-les-Saints de Schaffhouse en Suisse (célèbre pour ses chutes du Rhin) avait inspiré son ami Schiller pour composer sa « Ballade de la Cloche ».
En effet le chant d’une cloche embrasse l'ensemble de la vie humaine, y compris avant les moyens de communication herziens, la vie publique. La naissance, le mariage et la mort, les ravages du feu, les révolutions et les guerres, l'ordre et la paix, toutes circonstances dans lesquelles la cloche fait entendre sa voix, joyeuse ou solennelle, triomphante ou lugubre.
Mais avant d’aller décrypter le message délivré par les cloches de l’ég ...Lire la suite
L'ancienne horloge
L'horlogerie qui pilotait les cadrans de l'église Protestante a été installée en 1929 par la maison Ungerer de Strasbourg.
A l'occasion du bicentenaire de l'église 1804-2004, quatre retraités dévoués : Ch. Brandt, Ch. Jeuch, Ch. Sengel et A. Schmidt, ont passé près de 180 heures, à restaurer le mécanisme de l'horloge qui pèse environ 400Kg ; elle fut démontée, transportée, nettoyée, peinte, huilée et remontée au fond de l'église.
Venez voir l'horloge, elle vaut le déplacement !