Journaliste, enquêtant sur la vie monastique, il a été bouleversé par une expérience intérieure lors d’un séjour dans une abbaye en Belgique, près de Chimay.

Sa conversion ? Un matin de février, dans cette abbaye, après un office. Une série d’épreuves l’avait fragilisé, le chômage, une maladie, la mort de son père.

« Là, sur le chemin, je me suis mis à sangloter, puis à pleurer à gros bouillons. La raison des larmes m’échappait. Remontaient à ma conscience les injustices, dont j’avais été l’auteur ou la victime, les échecs affectifs, les vielles blessures… et à mesure que je pleurais, je m’en sentais lavé, pardonné. Une douceur et une paix jusque là inconnues m’avait envahi. Depuis ce jour, j’ai le sentiment qu’une présence aimante m’habite. Elle a ouvert mes y ...Lire la suite

Sur scène, à la télévision, à la radio, elle nous fait rire en brossant un portrait sans conession de la société française et de nos petits travers. En 2011, elle a choisi de recevoir le baptême « une évidence » dit-elle...

« Regarder vivre les autres est la base de mon métier d’humoriste. Un sketch a souvent pour origine le petit détail, l’attitude, le mot qui nourrit l’inspiration; la colère parfois aussi devant les bêtises, les incohérences dont nous abreuve l’actualité. Je crois que, chez moi, le secret ressort de l’humour, c’est de l’empathie. Je suis incapable de faire rire par méchanceté. Même les gens qui m’agacent et que je fais vivre dans mes sketchs, je finis toujours par les aimer un peu! »

Sa famille est d’origine juive, mais pas du tout pratiquante. ...Lire la suite

Jean-Claude Goepp, architecte-muséographe, membre du Comité de la SHABE, a par hasard, en visitant une des caves de terre du sous-sol de l'église, où sont entreposés des objets archéologiques, découvert la présence du champignon appelé la mérule.

La mérule, également appelée « lèpre des maisons » (ce qui veut tout dire...), est un champignon qui constitue un véritable fléau pour les habitations ! Il s’attaque aux bois, cartons et livres dans les pièces humides de l'édifice, avant de déguster tout l’édifice, qu’il faut parfois détruire. Par ailleurs, la mérule se développe de façon impressionnante car elle peut atteindre 8 mètres, se propageant dans tous les sens, de 4mm par jour. Plus l’atmosphère est confinée, plus elle grandit vite! Elle se développe dans l'ob ...Lire la suite

Notre camp d’été s’est déroulé tout près d’ici autour de la maison forestière de Lutzelhardt.

Nous avons passé quinze jours avec la meute d’Enghein-les-bains. Le campement était installé au milieu de la forêt.

Le thème de notre camp : « Il était une fois les gaulois », et les chefs sont devenus des gaulois, sauf un, qui était un centurion romain !

Que de bons moments passés ensemble, avec des jeux, grands jeux et presque chaque soir un moment de veillée autour du feu.

Nous avons pu visiter le centre archéologique de Bliesbruck, qui rappelle la présence romaine, et nous a fait découvrir la vie galloromaine.

Nous avons pu réaliser une mosaïque et faire du pain comme à l’époque puis nous l’avons partagé. Nous n’avons pas manqué de visiter d ...Lire la suite

A l’heure où les échafaudages enserrent notre église pour la réfection des pierres de taille en grès et du crépi, un autre chantier se profile.

En effet, le parvis nord de l’église doit aussi faire l’objet d’un réaménagement dans le cadre du projet global de la Cour du Château. Le principe en avait été acté par l’ancien Conseil Presbytéral ainsi que par l’Assemblée Consistoriale, juridiquement propriétaire du terrain. Cet accord s’était concrétisé par la signature le 10 janvier 2012 d’une convention tripartite avec la Mairie de Brumath.

Les aménagements prévus par la Municipalité sur les abords de l’église, qui sont la propriété privée du Consistoire, ne peuvent légalement être financés par des fonds publics que si le terrain est mis à la disposition de la colle ...Lire la suite

Es macht mir Mühe, mit einem Gottesbild zurechtzukommen, bei dem sich Gott entfernt, sich entzieht. Ich habe Gott immer als einen nahen, mir zugewandten Gott empfunden. Nach dem Motto: Im Falle eines Falles, der liebe Gott sieht alles. Und ich meine das durchaus positiv. Ich kann mich immer darauf verlassen, Gott verlässt mich nicht.

Sehr deutlich weist mich Gott allerdings auch darauf hin, es gibt auch eine Gottferne. Gott ist nicht nach meinem Willen verfügbar. Schon gar nicht dann, wenn ich nicht nach seinem Willen lebe und handele, sondern meine Ziele verfolge und sie als Gottes Willen verkaufe. So wollen uns falsche Propheten weismachen, sie würden Gottes Wort verkündigen. Aber sie entfernen sich von Gott, weil sie eigene I ...Lire la suite

La rentrée nous ouvre chaque année un nouveau chemin. Il faut nous remettre en marche. Saint Augustin écrit : « Avance sur ta route, car elle n’existe que par ta marche ». Les mois qui viennent sont comme une page blanche sur laquelle nos actes vont dessiner notre vie. Dans la prière d’Anne Mouazon, qui suit, nous mesurons cette réalité et nous sommes invités à nous engager en toute confiance, conscients et sûrs de la présence de Dieu à notre côté.

Pour la paroisse, du nouveau est là. L’église fait peau neuve, sur l’initiative de la Commune. Nous espérons, au-delà des difficultés et prises de position sur un projet dont la paroisse n’a pas été promoteur, et qui ne fait pas l’unanimité, d’y trouver des éléments positifs et favorables à la vie de la paroisse, ...Lire la suite

Prière pour la rentrée

14 juillet 1919

Le 14 juillet 1919 à Brumath, Messieurs les Maires de la circonscription s'étaient réunis pour fêter à nouveau la fête nationale.

Au premier, se trouve le maire Auguste Bostetter, à gauche de l'administrateur du département, Mr Blaisot.

La boucherie Wolfhugel, située à droite du presbytère catholique était décorée par des tresses de rameaux de sapin, aux fenêtres étaient suspendues des lampions.

Le vieux chêne plus que centenaire, semble être encore plein de vigueur et son feuillage dispense encore son ombre bienfaisante sur la place de la Liberté.

Le siège du journal le "Zornthal Bote" avait changé de propriétaire, Mr Hugo Haack, en tant que citoyen allemand avait du quitter le pays.

A propos du maire Auguste Bostetter :
BOSTETTER Auguste (* 28/04/1850 à Bietlenheim + 19/04/1922 à Brumath), Dr en médecine, Maire de Brumath, fils de Georges BOSTETTER, instituteur, et de Eve Catherine KNITTEL, demeurant à Bietlenheim, * 07/05/1877 à Brumath (22/43),
Louise Caroline Emilie Eugénie WENGER (* 10/01/1855 à Hohfrankenheim + 26/11/1943 à Brumath), fille de Louis WENGER, instituteur à Zutzendorf, et de Marguerite ADOLPH.

Ils habitèrent à Brumath, 19, rue Jacques Kablé, actuellement se trouve dans cette maison, le laboratoire de Mme Hoffmann. Le Maire Bostetter fut également "Geheimer Sanitätsrat", Conseiller médical.